Je dormais roulée en boule sur le ventre d'un ours, sentir sa respiration m'était un réconfort. Je ne réveillé lentement. Cette fois là Kyouki dormit avec moi parce que toute seule j'aurais pas pus récupérer de la veille.
Assise, je glissait tout naturellement du ventre jusqu'au sol. Je me changeait de vêtements et pris des crayons. Je ne dirigeait vers la porte . A peine sortir de la chambre, j'entendis Kyouki :
- Tu vas faire quoi ?
* A ouais, zut. C'est chiant même en dormant il peut savoir je que je fait !*
- Et ce que tu pense aussi
- Euh... Dessiné sur les murs.
- Ouais, attend 2 secondes.
Il s'étirât dans tout les sens en poussant des petits gémissements.
-T'as besoin d'aide ?!
- Ah, c'était pour t'embêter
- Met-toi en éléphant, s'il te plait.
- Dès le matin t'es chiante ! Tu peut pas te débrouillé toute seule ?
- Nooon !
Kyouki se transforma en éléphant, de sa trompe il me mit sur son dos.
- Hakky, Hakky, qu'es-ce-que tu ferait sans moi ?
- Pas grands choses !
Le sourire aux lèvres, nous traversions mes quartiers où je pris mes crayons dans une main et je les mit contre le mur, des grands traits de couleur ornaient mes murs. En 5min on était arrivé à la porte principal, où l'on vit Aizen.
- Et moi qui voulait dessiner sur la porte ... On vas dessiner sur les arbres ?
- T'as parlé un peu fort.
Kyouki prit la forme d'un écureuil roux et se pausa sur mon épaule, je passait a côté d'Aizen, puis je vit des grains de sable volés.
- Alala, on vas faire quoi, nous ?
- Déjà tu vas avancer.
- Mais y'a du vent !
- Oh my god, tu vas mourir !
- Tu sais pas comment sa fait mal de se prendre du sable dans les yeux ! Ah, bonjour Aizen-sama. Kyouki, on vas...on vas...
Je pouvais pas dire où on allais parce que Aizen allait savoir que j'allais là-bas pour dessiner sur les parois.
- Dans les quartiers des autres pour faire des dessins sur leurs murs ! Mais nous n'avons pas le droit Hakkyouko !
Et pourquoi il a fait sa ? Parce que monsieur avait la flemmardise de faire quoi que se soit. Immédiatement, je regardait Aizen avec un grand sourire, puis je lançais un regard noir à Kyouki.
- Viens j'vais rangé les crayons.
- A droite, Hakky !
Kyouki sentis une colère contre lui, il m'aimait pas que l'on reste trop longtemps fâché l'un contre l'autre. Donc il pris la forme du chien blanc, passa entre mes jambes, rapidement je glissait de son cou et j'atterris sur son dos. Nous traversions de nombreux couloirs. Arrivée dans ma chambre je descendis du dos de mon abrutis de Zanpakuto pour allée ranger mes crayons. J'ouvris le portail qui méne au monde des humains, Kyouki s'évaporât en direction de son fourreau et ne dit rien de tout le voyage.
Naturellement j'allais voir Zorane mais il était tôt en rapport a l'heure convenus, sinon que-se-que j'aurais fait au Heunco Mundo ?